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Se sentir bien dans sa peau

17 juin 2018

Mon moment magique !

La Méditation

La Méditation nous permet de prendre conscience de chaque instant de notre corps,
des autres et de notre environnement.
Elle est basé sur la respiration .Le principe de la méditation est de développer son attention et sa concentration.
Tous les jours , les pensées se succèdent dans notre esprit , cela nous donnent l'impression d'être débordé.
Pour contrôler ce flot, nous allons développer notre concentration.Retrouver notre
"moi intérieur". En total connexion avec soi-même! La respritation est notre "magicien"
dans cette aventure libératrice."Je me fais du bien aujourd'hui".
La concentration permet de se scanner intérieurement.Les tensions internes, les incompréhensions ne sont plus voilés à nos yeux.
Le corps se relâche , nous devenons léger et plus calme, plus réceptive à nos besoins.
Du coup , il est impératif de se retirer dans un endroit calme et sans être déranger dans les débuts. Cela demande une grande concentration. Une volonté de se faire du bien.
Avec plus de concentration en pratiquand la méditation régulièrement , nous serons évedemment plus à l'écoute de soi-même et des autres.
Ainsi nous devenons plus tolérants , plus compréhensifs , plus sociables et bien-sûr plus à l'aise avec les autres.
Juste pour nous-même un petit excercice de méditation de base :
" Fermer les yeux , ralentissez légèrement votre respiration et de vous concentrez sur la sensation de l'air qui entre et qui ressort par vos narines. Dès que vos pensées ressurgissent pensez à votre respiration et reconcentrez vous uniquement sur la sensation de l'air entre vos narines".
Une pratique régulière de la méditaion , nous apportent des bienfaits insoupçonnables.
Nous devenons plus doux, moin enclins à la colère et aux stress qui nous assaillent parfois.
Prenez soins de vous!

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12 juin 2018

OXYGÈNE DU MATIN

Chaque matin est un vrai rayon de soleil, qui je sais sera une journée exceptionnelle pour moi.

Peu importe la tournure qu'elle prendra, peu importe le climat du jour, les rencontres d'un hasard, ou distractions du quotidien ou de l'imprévu. Je sais déjà que ce sera un jour nouveau.

Dès le lever du jour, je m'étire et savoure ce moment unique où j'entends quelques oiseaux voyageurs chantants à tue-tête.

En ouvrant la porte, l'air frais du matin me chatouille les narines. 

Quel bonheur!

Je me surprends à sourire.

Que me réserves-tu belle journée?

Sans perdre une seule seconde, je me prépare ma boisson favorite.

J'enchaîne avec quelques exercices de yoga pour étirer et détendre mes muscles.

Travailler la respiration est très bénéfique pour accueillir toutes les voies énergétiques.

Bonjour les bonnes vibrations...

Un mental solide paré pour la journée.

Pas de stress, pas de précipitation, rien ne sert de courir.Chaque seconde, chaque minute, comme à chaque heure qui découle de la journée auront raison du temps qui passe..

Zen attitude pour bien démarrer la journée.

Prenez soin de vous! 

9 mai 2018

Rien que dans tes yeux.

Rien que dans tes yeux, je peux lire que le vrai amour est possible.

Cet épisode unique de votre vie ou tout est condensé, unique fort et intense.

Une histoire se construit vingt ans après tout se confirme !

Il y a ce silence dans l'appartement qui me rappelle que ton souffle manque à mes sens.

Je ne suis pas celle qui se pollue l'esprit avec des broutilles.

Mais il arrive parfois que l'instant du moment manque...une pause dans le temps où tout est en éveil, comme ton absence, ta présence

ton sourire et ton regard.

On ne peut décider pour l'autre, se dire que suite à une envie, un manque " il aurait dû, il aurait pu".

Dans une relation tout doit être fluide.Liberté intérieure. Chacun continu son chemin tout en sachant que l'autre commence à occuper une petite place.

Je me protège des effets extérieures.

La vie ne s'arrête pas quand l'amour surgit, car trop d'exclusivité fait souffrir. 

Rien que dans tes yeux je lis un message plein d'espoir " ne t'inquiète pas" !

Quoi qu'il advienne, c'est notre histoire, unique et tellement réel avec ses aléas " c'est la vie".

29 avril 2018

Maya et sa bande !

MAYA ET SA BANDE

Aujourd’hui maya a décidé de n’en faire qu’à sa tête ! Se laisser bercer par ses envies.
Quand on a vingt ans et qu'on vient de découvrir le sens du mot"liberté", loin de la maison familiale, tout ne sera plus pareil alors !

Maya est hôtesse dans un grand hôtel « le Novotel » qui se trouve à dix minutes de son domicile.

Elle habite dans une résidence, construite depuis peu à proximité de la mer. Elle travaille très dure avec des horaires de nuit, ce qui lui convient parfaitement ( je pense aux sorties après le boulot.

Quand on de l'énergie à revendre, tout devient possible, comme travailler sans relâche pour bien vivre. Ce qui lui a permis de décrocher un boulot dans le mannequinat.On va dire quand on a une allure de vahiné, une taille longiligne et une tignasse bouclée que demandé de plus...elle défilait dans une petite agence de mannequinat. Cela lui laissait peu de temps avec ses amis.

Par ailleurs , l’avantage de travailler dans le tourisme c’est qu’il y avait toujours une bonne ambiance ( karaoké, défilé en tenue de plage etc..) .. Surtout après le service, toute l’équipe se retrouvait dans la salle de fête de l’hôtel en compagnie des clients jusqu'à l'aube. Maya n’avait pas à se plaindre.

Mais depuis quelque temps, ses amis lui manquaient terriblement. Leurs délires et cette joie de vivre qu'ils partageaient ensemble depuis le collège avec certains.

Généralement quand elle se retrouve avec eux, tout se décide le jour même, pas de préparatifs, juste le plaisir d'être ensemble.
Entre les surexcités, les blasés, les endormis et bien-sûr les " vous faites quoi encore? " aujourd'hui? mais je n'ai rien préparé...( rire ) maya n'en peut plus ( rire ) ! La première idée qui effleure toute la bande c'est évidemment " la plage" bien sûr !

Avec quelques baguettes, salade de toutes sortes, nos fameux poulets locaux épicés, cacahuètes bien grillés chez la marchande du coin et tout ( chaud ) hummm ! Des boissons ( bières, jus, eau )..

Chose étonnante à l'époque, nos parents étaient très complices, comme par exemple, elles nous préparaient quelques spécialités du pays ( boudins, acras de morue et crevettes, tartes aux légumes et bien d'autres choses délicieuses ) ..merci maman.

Maya adorait la musique, de ce fait ses amis s’organisaient pour ramener toutes sortes de musiques variées ! Ce qu'elle appréciait chez sa bande d'amis, c'était leurs originalités et leur gentillesse quoi qu'il arrive. Tellement précieux ce beau partage quand on est jeune.

Toute la journée, Maya et ses amis ont dansé, chanté sur tous les rythmes inimaginables.

Après le déjeuner tout le monde a filé à la plage. L’eau était chaude et d’un bleu profond.

Les baigneurs qui se trouvaient à proximité de nous, lançaient des regards d’agacement envers nous, même pas gênant pour nous qui profitions à fond de cette journée.

Il régnait une atmosphère euphorique dans la bande.

Maya avait l’impression de flotter dans les airs. Cette sensation de bien-être et d’extase l'envahissait.
Quel bonheur de se retrouver.
De retour à l’appartement en fin de journée Maya et sa bande ont décidé de terminer la soirée dans un pub qui se trouvait dans le centre-ville.
Quand on a vingt ans, on expérimente pleins de choses. Les interdits nous titillaient, mais heureusement le cercle de Maya était assez consciencieux. Du coup toutes leurs sorties se faisaient sans excès.

Il était encore assez tôt, donc Maya et ses amis se sont regroupés près du quai en se

racontant de vieilles blagues.

A vingt trois heures , Maya et sa bande se sont retrouvés dans un club assez branché du centre-ville. A l’entrée de la salle la musique, le rythme funky annonçait une soirée déchaînée. Maya accompagnés de son flirt du moment, s'est extasiée toute la soirée. Elle a dansé comme jamais auparavant avec une telle frénésie que ses talons le lui ont fait payer ( rire ).L’atmosphère était onirique Ses amis étaient éblouis par sa bonne humeur..

Maya était heureuse. Ses yeux pétillaient. Et son corps se trémoussait au son de la musique .

Une petite voix lui souffla à l’oreille qu’il était l’heure de rentrer. La fatigue commençait à se faire ressentir au sein du groupe. Une fois à l’extérieur la bande se dispersa après s’être promis de se revoir très vite.

Maya et son ami rentrèrent à l’appartement.

La lune commençait à disparaître derrière les nuages pour laisser place à la lueur du petit jour.

Maya épuisée s’endormie dans les bras de l’amour.

Cette journée avait brillé de mille feu pour Maya et sa bande.

bienvenuechezmoi

28 avril 2018

Seul dans son monde

Tête baissée , il déambule dans les rues inondéés de monde.

A quoi pense- t-il ?

Ses pas sont lents et hasardeux, sur le sol jonché de feuilles mortes qui annoncent

la fin de l’automne.

Il fait si froid dehors qui est son unique foyer de nulle part.

Dans la ville tout tourbillonne autour de lui, il s’y sent en sécurité. Il se fond dans

les rires à plusieurs notes, des regards vides qui l’ignore , mais peu importe, il vit

que le jour qui lui procure nourriture et protection.

Son bonnet aux couleurs dépassées par le temps repose à ses pieds , y

Brille quelques pièces de tous leurs éclats, c’est sa récompense de la journée.

Blotti contre un mur, il ajuste sa veste décousue de tous les côtés qui l’accompagne

par vent et marrées. Une brise glacée l’oblige à se protéger les mains rugueuses et

fissurées.

Ça fait des années qu’il vit dans un mon monde à part qu’il a construit pas à pas,

dans la douleur , du désespoir d’une vie vidé et sans lendemain.

Seul avec son histoire que lui seul connaît. Il s’enrichit de l’instant que lui offre

chaque jour passer dans la foule. Il connaît tous les différents pas , dont ceux qui

se pressent tous les matins, d’autres qui sont lents qui arpentent les rues, et aussi

les pas lourds d’une fin de journée. Il ne reconnaît pas les siens dans ce lot de pas,

les siens sont souvent absent, assis presque trop souvent , ils s’engourdissent du peu

d’effort.

De ce monde il n’est plus.

Il ne pense plus, il est devenu l’ombre de lui-même.

Son sourire l’a quitté depuis longtemps.

Ses pensées s’évaporent, tout n’est que furtif pour lui.

Son seul lien avec la réalité, ce sont ses petites pièces jetées qui brillent dans son

bonnet usé, qui lui rappelle en permanence que la faim est son fardeau quotidien.

Seul dans la nuit, il s’endort fatigué recroquevillé sur les tas de cartons qui

s’entasse au fil du temps. Son énorme couette récupérée dans une poubelle ,lui

englouti tout le corps . Une douce chaleur l’envahi et lui fait du bien. Cette nuit est

un jour en moins , de son calvaire au clair de lune et à la belle étoile.

Demain sera à nouveau le début du recommencement , avec ses petites pièces de sa

survie.

Dans ce monde d'aujourd’hui chacun d’entre nous avons une part de responsabilité sur notre devenir. Exister ou mourir, savoir ce que demain nous

réserve ou vivre intensément l’instant dans une certaine droiture pour éviter le

pire, comme lui , un sans abri parmi tant d’autres.

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28 avril 2018

Le plafond blanc

A ma mère aimante que j’admire encore aujourd’hui, pour son incroyable courage et sa bienveillance envers nous, ses enfants.

A mon père qui parle peu, mais qui nous accompagne par sa présence.

A mes frères et sœur qui depuis ont suivi leur chemin entourés de leurs familles.

Il fait beau aujourd’hui, et le soleil commence à briller sur le gravier de l’allée. Une douce brise fait savoir que la fraicheur est au rendez vous. Située en haut d’une petite colline, se trouve la maison de mes parents, entourée d’Arbustes et de multitudes de jolies fleurs parfumées et exotiques. Nous sommes cinq à y vivre. Ma petite sœur et moi, et mes deux petits frères. Etant l’aînée, je me sens tout de même responsable d’eux, du haut de mes huit ans.

Vivre à la campagne était autrefois un vrai bonheur, un immense jardin pour gambader et beaucoup de lumières éclairé d’un grand ciel bleu qui rappelait un peu le sirop à la menthe que nous servait la dame près de la plage. Mon père partait très tôt le matin d’habitude, pour aller travailler. Il était conducteur d’engin. Ma mère était aide soignante, au centre hospitalier du centre ; mais ce matin là, une drôle d’agitation c’était installée à la maison autour de moi. Je me plaignais d’une forte douleur au niveau du cou. Ma tête s’était carrément affaissée sur mes épaules. La douleur était tellement intense que je n’arrêtais pas de sangloter ; Ma mère s’affolait. Mes frères et sœur étaient autour de moi à me regarder sans vraiment comprendre ce qui me faisait pleurer autant. En peu de temps, j’étais chez le médecin, et depuis ce jour, ce fut le début du calvaire pour moi. Entre les radios, les scanners, les différents examens, une année de ma vie d’enfant a basculée.

Ma mère pleurait tout le temps. Mon père ne disait pas grand-chose, il savait juste me réconforter de sa douce voix. Mes frères et sœur je les voyais rarement. A cause d’une vertèbre qui s’était déplacée au niveau de la colonne vertébrale. J’avais les bras tuméfiés par les prises de sang. Un jour, un médecin a annoncé à ma mère qu’il devait intervenir rapidement pour remettre en place cette vertèbre. Je revois ce médecin assis à côté de ma mère, au pied de mon lit, dans cette chambre d’hôpital. Les larmes ce sont mises à couler, quand il a annoncé qu’il fallait me raser la tête entièrement. J’avais si peur. Ma mère restait à mes cotés tous les jours et repartait le soir. Je ne faisais que pleurer. Je disais souvent à mes parents :

-pourquoi, étiez-vous si longs à venir me voir, vous m’avez manqué. J’ai eu si peur de ne plus vous revoir.

Sur leurs visages assombris se lisait, la douleur de me voir ainsi, ce qui me rendait encore plus triste. Tous les jours, pendant des mois, je suis restée en position allongée sur le dos, avec un suspensoir accroché à ma tête. Cela s’appelle être en traction. Le plafond blanc était devenu mon seul soleil pendant près d’une année. J’ai imaginée tant d’histoires en regardant ce beau mur tout blanc : mes journées avec mes frères et sœurs à sautiller dans tous les sens, nos parties de cache-cache et bien d’autres histoires drôles.

Mes voisines de chambre, je les voyais, seulement, quand on me tournait d’un coté à l’autre pour me laver. Il y avait une fille que je connaissais de vue, elle habitait dans ma ville. Elle est restée très peu de temps. Par contre, l’autre voisine était plus âgée. Elle avait une grande ouverture au dos, elle est restée plus longtemps. Elle avait une voix, surtout quand elle me consolait.

- pourquoi pleures-tu ? Ne t’inquiète pas, tes parents vont bientôt arriver.

Un jour, elle m’a invitée à partager une spécialité de chez elle que lui a ramenée sa famille. . C’était délicieux, cette préparation à base de boulettes de viandes et de farine. Survient le moment où elle m’annonça qu’elle devait rentrait chez elle, enfin. Ce fut très douloureux pour moi, plus personne ne pourrait alors me consoler, dans cette chambre toute blanche. Quelques temps après, une jeune fille est arrivée, elle était épileptique. Elle avait de très longs cheveux noirs, elle faisait tout le temps des crises, à cause de sa maladie. Elle avait toujours les yeux fermés. On l’appelait souvent par son prénom, pour l’aider à se calmer. Et puis, un jour elle est partie. Cela m’a laissé une sensation étrange, il n’y avait plus de cris.

L’immobilité de ma tête m’a permis d’améliorer mon angle de vision et d’accroitre mes autres sens. Comme l’ouïe ; je me souviens que je pouvais reconnaitre les pas de mon frère dans les escaliers qui se trouvaient près de ma chambre. Je me rappelle d’une gentille infirmière, qui me faisait manger tous les midis, elle était enceinte dans mes souvenirs, qui à chaque fois, me disait :

-Si tu le permets je m’assois, avant de retrouver ma tête dans ton assiette.

J’ai appris à compter le temps à ma manière, de telle sorte que je pouvais deviner quand arriveraient mes parents. Ils me ramenaient toujours pleins de gâteries que je gouttais à peine. Je n’avais guère d’appétit. Ce sentiment d’abandon ne m’a jamais quittée. Mes frères et sœur me manquaient terriblement. J’étais paniquée à l’idée de ne plus les revoir.

Je me souviens du personnel soignant, parce qu’à huit ans, on ne pense qu’à ses parents, loin de mon cocon familiale. Un jour sont apparu mes frères et sœur, autour de mon lit. Ils avaient l’air effrayés de me voir, peut être à cause de mon crâne rasé. Je pense qu’ils ne m’ont pas reconnu. Ma mère pleurait en me tenant la main.

Ma famille, mes amours. Chaque jour, ils m’ont apporté toute leur tendresse. Immobile sur mon lit pendant des mois, sans pouvoir bouger, ils ont comblé cet espace tout blanc qui reflétait ma pâleur et mon manque le soleil.

Enfin arriva, le moment, ou ils m’ont enlevé tous mes fils à la tête et que je pouvais enfin m’assoir, avec beaucoup de difficulté, surtout je n’avais aucun équilibre. Je me sentais flotter. Tout le monde souriait autour de moi. La rééducation fut longue. Je suis enfin rentrée chez moi. J’avais encore cette peur qui m’accompagnait tout les jours, mais je n’étais plus seule. Afin d’éviter les chutes, mes parents s’organisaient toujours pour que je ne sois jamais seule. J’ai dû garder ma minerve encore longtemps. Quand j’étais en public, les gens me pointaient du doigt à cause de mes cheveux qui n’avaient pas encore repoussé uniformément. C’était terrible pour moi, du haut des mes neufs ans. Je pleurais, encore et encore. Alors, afin de me protéger, mes parents préféraient rentrer à la maison. Cela a mis du temps, mais avec l’aide de mes parents et les différents soins, j’ai pu reprendre le cours de ma vie d’enfant. J’ai retrouvée mon cocon, où plane l’odeur des fleurs, les rires de mes frères et sœur, qui s’amusaient. C’est rassurant. Je ne me rappelle pas de tout, mon cerveau est resté très sélectif.

Je ne gambadais plus comme avant, mais j’adorais m’assoir dans l’herbe et regarder ma mère dans son jardin. Elle était si belle.

De petites plaies du passé qui me rappellent que l’amour des parents est unique.

Par sa beauté, par sa grâce et pardessus tout la foi, l’amour, est notre seule ressource

Que la vie continue.

 

 

 

 

 

28 avril 2018

Dans la vie tout est possible !

Dans la vie tout est possible.

L’étrange comme, l’impossible.

Comme l’amour qui vous bouleverse et qui ne vous prévient pas de son arrivée soudaine.

Que penser, que faire alors que l’imprévu se présente à vous.

Toi tu m’as terrassé par ton acharnement à vouloir à tout prix occuper une place ou peu d’éléments pour en faire une histoire.

Que me veux-tu amour de quelques fois et aussi filante qu’une étoile.

Je ne peux expliquer tout cela à quiconque qui adore les histoires croustillantes !

Pourquoi es-tu apparus dans ma vie et que l’instant qui suit tu avais déjà disparu, sans laisser de repère à mon cœur.

A savoir qu’on ne peut pas tout contrôler et surtout dans le trouble qui vous assaille ne préférer que la réalité des choses.

Dans la nuit quand je ferme les yeux c’est à toi que je pense et rien ne peut changer cela.

Accepter l’évidence que d’autres refusent, mais c’est troublant et agréable à vivre, même à en souffrir un peu, en se raisonnant pour justement éviter les regrets du non- consentement à nos ressentis.

Peu communicatif est tu ! Ton visage que je surprends entre deux étreintes quand tu me consacres ce peu de temps que tu calcules.

A toi mon amour qui a comblé mon cœur. Je te dédie cette rame de mes attentes frustrées par ton absence qui m’a laissé versé des larmes dans le noir où filtrait la lumière des messages publicitaires de partout.

Quel a été le moment ou l’inopportun à déclaré l’ouverture de cette aventure qui m’a figée sur place.

Tes lèvres si chaudes qui jouent de moi et qui laissent des traces humides sur le coin de mon cœur. Tes mains si dynamiques qui cherchent à m’oppresser.

Que me veux-tu bel inconnu ? Avec ta fraîcheur et ton rire agréable tu me laisses sans voix.

De peu tu m’as fait réaliser que l’amour était encore possible même sans une grande histoire qui raconte tout.

Je n’ai jamais rêvé au-delà de ce que tu me donnas dans les courts instants de nos moments.

Peu de minutes nous séparent et malgré cela, aucune sonnerie ne me prévient de ton retour auprès de moi. Peut-être as-tu déjà une vie cachée et que ma présence n’est qu’occasionnel pour toi ! Certes, j’assume et je dis oui à mon cœur et mes pensées qui me parlent de toi.

Je sais rester raisonnable et réfléchi c’est le mieux que je puisse faire pour une bonne connexion dans cet espace qui me mène direct à mon état de faiblesse.

Tout cela m’appartient et restera mon secret d’un instant que je garde déjà et que je souhaite partager avec ceux et celles qui comme moi inspire toujours à l’amour que qui soit.

Ne jamais fermer la porte à une passion ou à un amour qui vous bouleverse et qui fait n’était pas prévu au programme.

Toutes les fois où tu m’as dit « je t’aime » ! je n’ai à aucun moment cherché à savoir si c’était le bon mot et que son sens était bien utilisé pour tes ressentis envers moi.

Je les garde ils me font rêver. Cette phase d’acceptation a été relativement virevoltante pour moi. Donc je me suis laissé bercer par toi mon amour.

Assise devant mon clavier à écrire ce poème pour toi mon amour, je ressens l’inexplicable, comme le début de cette histoire. Restez zen c’est la vie.

A toi mon Amour…..

 

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Se sentir bien dans sa peau
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